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Entre l'Ombre et la Gloire

Paru fin mars 2025, c'est mon deuxième roman. Il m'a été inspiré par ma dernière profession de chroniqueur hippique, de 1999 à 2024, avant ma retraite. J'y parle indirectement de mes expériences dans le milieu, du contact avec cet animal fascinant qu'est le cheval et bien au-delà des interactions entre l'homme et l'animal qui dépasse largement les seuls plaisirs de la compétition.

Jean-Claude Genet

Auteur du Barcarès (66)

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Résumé

Benjamin et Jules se lient d’amitié autour d’une ambition commune : Sauver un cheval de course aux capacités extraordinaires mais blessé. Derrière l’effervescence des compétitions et l’euphorie des victoires, des tensions cachées menacent de tout faire basculer. Tandis que Benjamin s’attache de plus en plus à ce pur-sang, qu’il considère autant comme un compagnon que comme un champion, Jules, avec sa vision froide et calculatrice, élabore dans l’ombre une stratégie pour assurer leur succès dans des projets démesurés. Entre jalousie, rivalités et sacrifices inavoués, leur amitié vacille sous le poids des non-dits. Jusqu’où iront-ils pour atteindre la gloire sans se trahir mutuellement ? Un roman où les liens humains et la quête de réussite se mêlent dans une course contre le destin.  

Ce roman ne se limite pas à l’histoire d’un cheval de course. Il raconte le destin d’un animal qui dépasse sa seule valeur sportive, d’autres laissés pour compte à qui l’on offre une seconde chance, même sans rentabilité. Il suit un homme en fin de carrière, cherchant à redonner un sens à sa vie à travers une amitié inattendue et un amour né contre toute attente. C’est aussi le récit d’un territoire rural, fier et reculé, qui lutte pour se faire une place, survivre et exister.

On y trouve des doutes, de l’émotion, de la passion, des tensions, des non-dits, des mensonges, des envies, des ambitions… Tout ce qui fait l’humanité, dans ses forces comme dans ses failles.

Les récits possèdent leur propre caractère. En écrivant, on plonge dans l'imaginaire tout en s'efforçant de maîtriser la réalité. Ces deux univers qui se rencontrent sont semblables à des océans s'unissant dans l'éclat de leurs vagues mutuelles, chacun offrant à l'autre sa propre essence de vérité et s'enrichissant de la différence.

Les histoires appartiennent à tous, même si elles sont écrites pour un seul individu. Si vous écrivez en pensant à un large public, votre récit risque de sonner faux et de manquer de sincérité. Personne ne s'y intéressera. Écrire pour quelqu'un de spécifique signifie que si cela résonne avec une personne, cela résonnera avec les autres. Ainsi, écrire est un acte de partage, indépendamment du nombre de "convives" ; c'est comme offrir un gâteau sucré à une personne ou à plusieurs.

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Mes projets ?

L'écriture d'un troisième ouvrage est en progression et le synopsis du quatrième est déjà bien avancé. J'ai également des recueils de poésie en prévision d'édition. En souscrivant à ma newsletter, vous serez automatiquement informé(e) de mes dernières nouvelles.

Un extrait du livre :

Ce matin-là, Benjamin Furlan se réveilla aux aurores, les premiers rayons du soleil filtrant à travers les rideaux de sa chambre. L’horloge murale affichait 6 h 30. Il s’étira lentement, ses muscles se déliant un à un. Une journée dense s’annonçait, mais l’excitation des courses lui insufflait une énergie particulière. Il se leva et se dirigea vers la cuisine. Son petit-déjeuner, préparé avec soin, suivait le rituel qu’il affectionnait avant une journée sur le terrain : des œufs, du bacon, des herbes et des tomates pour une omelette. À cela s’ajoutaient deux tranches de pain complet grillé, accompagnées de beurre et de confiture de fraises, une tasse de café noir et un verre de jus d’orange fraîchement pressé. Assis à la table, il savourait lentement ce repas tout en observant le soleil percer les nuages. Toute la nuit, une pluie battante, typique de Toulouse, avait martelé les vitres. Rassasié, Benjamin rejoignit son bureau. La veille, il avait disposé sur le plan de travail le programme de la journée et ses notes de pronostics. Les pages, couvertes de gribouillages, de statistiques et de remarques, témoignaient de son assiduité. Assis à son fauteuil, il relut une dernière fois ses prévisions, ajustant ici et là une annotation ou un détail sur un cheval ou un jockey, porté par ses intuitions matinales. « Voyons si mes prédictions se confirmeront aujourd’hui », murmura t-il en inscrivant les ultimes observations. Il vérifia ensuite son dictaphone, un outil indispensable pour les interviews, s’assurant de son bon fonctionnement. Son carnet de notes, déjà rempli d’idées et d’analyses, trouva sa place dans la poche intérieure de sa veste. Avant de partir, il prit le temps de s’assurer que rien ne manquait : son stylo favori, quelques cartes de visite, son ordinateur portable et son badge de presse. Inspirant profondément, Benjamin balaya son appartement du regard, vérifiant que tout était en ordre. Tous les objets semblaient à leur place, reflet d’une organisation méticuleuse qui lui conférait un 26 sentiment de contrôle. Ces habitudes minutieuses remontaient à son enfance, bien avant ses premières années d’école. Une fois ses chaussures solidement lacées, il quitta l’appartement, prêt à relever les défis de la journée. Vers onze heures trente, Benjamin prit la direction de l’hippodrome de Toulouse – La Cépière, bravant les sempiternels embouteillages. Il appréciait d’arriver bien avant le début de la première course. Cela lui pourvoyait de la marge pour s’imprégner de l’atmosphère, rencontrer ses collègues et glaner des informations de dernière minute. Arrivé à l’hippodrome, il salua le gardien à l’entrée, un homme d’un âge avancé qui surveillait les abords depuis la nuit des temps. ...

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LES PEINTURES DE FRANCOISE

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